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Qu'avez vous maté comme film dernièrement ?
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Chrysalis:
Parce qu'il s'agit de l'assassin de sa femme, David Hoffmann, lieutenant à la police européenne, accepte de reprendre du service pour traquer un dangereux trafiquant soupçonné d'une série de meurtres. Une enquête qui le mènera vers une clinique à la pointe de la technologie, dirigée d'une main de fer par le professeur Brügen.
Quand la vérité se loge au coeur du souvenir, la mémoire se révèle un bien précieux, objet de toutes les convoitises. Pourtant, certains souvenirs ne s'effacent jamais...
Franchement, j'ai pas réussi à aller au bout, la réalisation est vraiment trop mauvaise, ça fait chier car Dupontel est vraiment un bon acteur.
A éviter à tout pris.
3/20
Swimming With Sharks:
Immersion dans le milieu de la production a Hollywood a travers les mesaventures d'un assistant aupres d'un grand patron du cinema.
Excellentissime de A à Z, une fin un peu bizarre mais un Kevin Spacey plus méchant que jamais.
16/20
Des petits larcins sur les bancs de Belleville aux braquages surmédiatisés des plus grandes banques parisiennes, l'ascension spectaculaire de Simon et de sa bande. Capables de vider une série de coffres sous le nez d'une police désorientée par l'audace tranquille affichée par le groupe, les inséparables sauront-ils longtemps éviter les effusions de sang, supporter l'ennui des cavales sous les Tropiques et mener de front vie amoureuse et jeu de cache-cache avec la police ? D'autant qu'il leur faut compter avec Milan, un flic acharné à les faire tomber depuis leurs premiers coups dans le quartier. Obsédé par la bande de Simon, Milan a fait de la capture de ce dernier l'unique but de sa vie.
Pas mal, j'aime bien Elbaz mais le problème, c'est qu'il est accompagné de mauvais acteurs dans ce film ce qui fait qu'on décroche un peu parfois.
On aurait en apprendre plus sur le gang des postiches, on est reste un peu sur notre faim.
Je sais pas qui a monté le film aussi mais c'est une catastrophe à certain moment.
A voir le dimanche en retour de teuf LOL
11/20
In Bruges:
Après un contrat qui a mal tourné à Londres, deux tueurs à gages reçoivent l'ordre d'aller se faire oublier quelque temps à Bruges.
Ray est rongé par son échec et déteste la ville, ses canaux, ses rues pavées et ses touristes. Ken, tout en gardant un oeil paternaliste sur son jeune collègue, se laisse gagner par le calme et la beauté de la cité.
Alors qu'ils attendent désespérément l'appel de leur employeur, leur séjour forcé les conduit à faire d'étranges rencontres avec des habitants, des touristes, un acteur américain nain tournant un film d'art et essai européen, des prostituées et une jeune femme qui pourrait bien cacher quelques secrets aussi sombres que les leurs...
Quand le patron finit par appeler et demande à l'un des tueurs d'abattre l'autre, les vacances se transforment en une course-poursuite surréaliste dans les rues de la ville...
Tout simplement mortel, autant au niveau de la réalisation que de l'histoire, le jeu des acteurs, les répliques etc...
Je retiendrai celle là(Je la fait de tête):
"J'ai vu ton pote nain cet après midi, il ne m'a même pas dit bonjour"
"C'est normal, il était sous forte dose de kétamine"
"C'est quoi ça la kétamine?"
"C'est un médicament pour les chevaux"
"On donne des drogues pour chevaux aux nains maintenant"
C'est des phrases dans ce style, très très bon et vraiment marrant.
18/20
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- dajhne
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Chrysalis:
Franchement, j'ai pas réussi à aller au bout, la réalisation est vraiment trop mauvaise, ça fait chier car Dupontel est vraiment un bon acteur.
A éviter à tout pris.
3/20
...Attend, tu n'as surement jamais vu "Terminus", qui est selon le moi, le "chef d'oeuvre" de la SF française!!!
....et qui curieusement, n'existe pas en dvd.......
Swimming With Sharks:
Immersion dans le milieu de la production a Hollywood a travers les mesaventures d'un assistant aupres d'un grand patron du cinema.
Excellentissime de A à Z, une fin un peu bizarre mais un Kevin Spacey plus méchant que jamais.
16/20
Je l'ai vu dernièrement, et ça ne m'a pas convaincu......et le final est à chier! 3,5/6
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Ca va etre dur de faire plus mauvais que la presta de Lefébure dans Crysalis
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- dajhne
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Je vais essayer de me trouver terminus LOL
Ca va etre dur de faire plus mauvais que la presta de Lefébure dans Crysalis
Attend de voir Johnny avec sa coupe en brosse décolorée!!!!!
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- dajhne
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Bizarrement mauvais! Calista Flockhart est prodigieusement nulle (remarque, on ne l'a plus jamais revue depuis!!!)!!!
Aucun sursaut, intrigue creuse, aucune idée à l'horizon!!! Le vide n'a jamais été lourd!
note: 1,5/6
-"L'Echine du Diable de Guillermo Del Toro
Vraiment bien malgré des idées très inégales (le rôle du missile planté dans la cour... l'échine du diable, justement, qui n'a aucun intérêt dans l'histoire.......). De belles images, ainsi qu'une vraie passion du cinéma qui transpire à chaque plan.
note: 4,5/6
-"Phantoms" de Dean Koontz
Sympathique série B qui vit les débuts au cinoche de Ben Affleck et Rose Mc Gowan... Le célèbre écrivain, jamais mieux servi que par lui même, prend ici la caméra et nous adapte un de ces romans: certains passages font furieusement penser à "Fog", "Le Blob", "Le Prince des Ténèbres" et l'ensemble se regarde gentillement.
note: 3,5/6
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- Phoebe
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[...]
-"L'Echine du Diable de Guillermo Del Toro
Vraiment bien malgré des idées très inégales (le rôle du missile planté dans la cour... l'échine du diable, justement, qui n'a aucun intérêt dans l'histoire.......). De belles images, ainsi qu'une vraie passion du cinéma qui transpire à chaque plan.
note: 4,5/6
C'est vrai que le titre du film prête à confusion mais il reste ni plus ni moins un bon film, avec de belles images et une bonne mise en scène.
D'ailleurs, quand j'ai vu, bien des années après, le Labyrinthe de Pan, cela m'a fait pensé à l'échine du diable de par l'ambiance mystique qui s'en dégageait.
La main sur le Katana
Même si la peur m'assaille
Je partirai comme un samouraï Shurik'n
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- ChaosmoZ
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L.A., ville des anges déchus, énorme machine à broyer l'humain, fin des années 1950. Strick la dévoile dans une sorte d'immense travelling autour de Judith McGuire et des méandres de la non-vie du bonheur préformaté.
Un très grand film, tombé dans les oubliettes du cinéma, qui offre des plans absolument sublimes, un éclairage splendide qui met à nu la face cachée de la Californie et hybride palpitations de la ville et pérégrinations humaines.
Cinéma
L.A. sans pitié
60’s. Joseph Strick promène un œil acerbe sur une cité des Anges fascinante et déjà malade. Un film aux accents céliniens.
PHILIPPE AZOURY
QUOTIDIEN : mercredi 9 juillet 2008
The Savage Eye , de Joseph Strick, Sidney Meyers, Ben Maddow, avec Barbara Baxley. 1 h 08. Suivi de Vétérans du massacre de My Lai, Joseph Strick. 22 mn.
Si le Bardamu du Voyage au bout de la nuit avait eu une fille, celle-ci s’appellerait Judith. Judith Mc Guire. Un banal divorce l’aurait laissée sur le bas-côté de la route, et sa dernière chance serait L.A. - cité des anges, palmeraie pourrie, belle comme une verrue ensoleillée. Los Angeles ou l’Amérique à son summum : fascinante et malade. Elle regarderait ce paysage-là et se mettrait à dialoguer avec sa conscience. Et l’Amérique en prendrait pour son grade. Car elle, la divorcée à qui les amies d’hier tournent le dos de peur d’être contaminées par la fièvre de la séparation, se payerait à son tour la société qui la rejette, la livrerait tout entière à sa vision subjective et brisée. Voici la photo sans retouche des USA à la fin des années 50, quand l’Amérique délivrait au monde entier un modèle prêt-à-porter du bonheur mais à l’intérieur d’elle-même crevait de ne pas imploser. Judith Mc Guire, derrière d’immenses lunettes noires d’abeille urbaine, coulerait son regard dans chaque haut lieu de la ville, chaque cloaque interlope : baraques à strip-tease, salle de boxe où se paye 30 dollars un combat truqué, église païenne où œuvrent les faith healers, ces guérisseurs mystiques abreuvant de paroles factices leurs oies pâmées, caressant leurs fronts désœuvrés. Tout au long de ce trip angeleno, cet interminable travelling où le spectacle de l’absurde raccorde avec celui de la violence usuelle, elle verrait ces compatriotes («ces morts en sursis»), et leur cracherait au visage - une déclaration d’amour comme une autre quand la situation vous met les nerfs à vif.
Lettre perdue. Savage Eye déverse sa lucidité sans ménagement, en son sein les montées en puissance s’ajoutent les unes aux autres. Il tient à la fois du tract et du poème. C’est une lettre d’amour déçue à l’Amérique qui aura mis quarante-huit ans à nous parvenir. Sorti en 1960 dans deux cinémas à Paris (le Publicis et le Saint-Michel), bien accueilli, il s’est pourtant paumé dans la mémoire cinéphile. Jusqu’à ce que Ronald Chammah, qui le découvrit une nuit sur le câble, décide de réparer l’injustice, épaulé en cela par le label Carlotta. Pourtant, autant de modernité intrinsèque aurait dû faire réagir depuis longtemps ceux qui tiennent en respect à la fois la vigueur d’un Sam Fuller et l’indépendance d’un Cassavettes. En pleine politique des auteurs, il n’a sans doute pas gagné à être signé par trois personnes : Ben Maddow (membre de la gauche américaine, interdit sous McCarthy, scénariste notamment de Johnny Guitare et de Asphalt Jungle), Sidney Meyers (monteur du Film de Beckett) et Joseph Strick, metteur en scène de cette épopée indépendante qui occupa bénévolement leurs week-ends durant quatre ans.
Strick, athlétique jeune homme de 85 ans, nous attend dans la salle d’un café à deux enjambées du Sénat. La chaleur subite qui frappe Paris, un voyage dans la journée au festival de La Rochelle pour y présenter le film, ne l’empêcheront pas de bavarder avec nous jusqu’à la nuit tombée, dans un français parfait. Il vit ici, depuis qu’il a rencontré une scientifique française, il y a trente-huit ans. Strick est un de ces types comme on en croise peu, un Américain intranquille, qui découvrit le maniement de la caméra à 20 ans, aux armées où il officiait à la fois comme aviateur et comme cameraman. «Ma mère a longtemps été persuadée que j’avais bombardé Hiroshima, car la compagnie qui survola Nagasaki et Hiroshima était la mienne. Heureusement non, mais au retour d’Hiroshima des tonnes de questions m’ont assailli : si on me l’avait demandé, l’aurais-je fait ? Sans doute. Aurais-je bombardé Berlin pour libérer le monde d’Hitler ? Oui. Comment en vient-on à accepter ce crime horrible : le meurtre de civils ? Qu’on ne me parle pas de précision : les carpet bombing de l’époque tuaient aveuglément.» A son retour, il s’attelle à l’organisation d’un collectif de cinéastes indépendants, système déjà expérimenté par d’autres, en particulier le photographe Paul Strand. «Strand était mon maître. Il m’a même demandé de prendre des contacts au Mexique, pour un film à faire - j’étais encore aviateur à l’époque et mon habit militaire me permettait de pénétrer certains cercles. Hélas, ça ne s’est pas fait.»
Miasmes. Plus encore qu’à Strand, ou au tandem Walker Evans-James Agee, c’est à Cartier-Bresson que l’on pense devant ces éclairages incroyablement subtils, cette façon particulière de se servir de la lumière pour frapper les visages. «Nous avions parmi nos chefs opérateurs occasionnels Helen Levitt. Qui était très proche de Cartier-Bresson, tout en ayant développé une griffe personnelle. Quelle chance pour nous !» Le résultat est somptueux. On est là face à un des films les mieux photographié de l’époque. Le portrait tranchant d’une ville : «L.A. est pour moi synonyme de miasmes ! Nous étions un groupe d’amis horrifiés par la vulgarité de la Californie.» Il ne semble plus très emballé par l’idée d’une voix off masculine qui endosse les pensées de Judith, mais balaie toute intention de cynisme : «La férocité n’est pas dénuée d’amour.»
C’est le même credo qui l’amènera à filmer en 1971 les Vétérans du massacre de My Lai au Vietnam. Ce court film-onde de choc fut refusé par toutes les télévisions américaines, fut montré dans 150 salles indépendantes, obtint l’oscar du documentaire. Un seul pays le censura totalement : la France. «Pour solidarité avec les événements d’Indochine !» L’interdiction vient d’être levée ces jours-ci et le film passe en complément de programme de the Savage eye, avec lequel il forme un beau diptyque.
Strick fut aussi éditeur pour Grove press, ce qui l’amena à adapter à Hollywood le Balcon de Jean Genet. «J’étais fasciné par l’idée que le monde est un immense bordel. Jean était extraordinairement bizarre. Je lui demandais comment il avait gagné sa vie auparavant, il me disait : "J’abordais des messieurs, ils me suivaient dans le parc, quand leur pantalon était à leurs genoux, je prenais leur portefeuille. Certains me poursuivaient en me disant : fais-la moi quand même !"»
Sous-titres. En 1967, ce fou de Kurosawa et de John Ford adapte Ulysse, en conservant pour sous-titre les phrases tirées telles quelles du livre de Joyce. Ce qui lui vaudra l’amusante surprise d’être nominé aux oscars pour le meilleur scénario, et surtout de se battre à Cannes le soir de la présentation du film en compétition : «Le festival, sans nous prévenir, a remplacé les sous-titres de Joyce par des sous-titres plus compréhensibles. Je suis monté en cabine, me suis battu avec cinq armoires à glace en smoking. J’ai coupé les interrupteurs, ils m’ont viré en me jetant dans les escaliers, me cassant le pied. J’ai voulu que les jurés s’insurgent. Shirley Mc Laine m’a regardé en me disant : "Comme vous êtes excité Joe ! Vous voulez un peu de LSD ?"» Des histoires de parias comme celles-ci, Strick en a beaucoup. Et quand on lui dit que Savage Eye a des accents célinien, il sort la meilleure de toute : «Comme j’avais fait pas mal d’argent comme producteur, j’ai envoyé un ami de l’édition à Meudon, faire une demande à Lucette Destouches, la veuve Céline, des droits du Voyage au bout de la nuit. Elle le reçoit dans son pavillon, en robe de chambre. Au fur et à mesure de la conversation, elle en écartait les pans et laissait voir son entrejambe. Mon ami a fui. Célinien, non ?»
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- dajhne
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"Les révoltés de L'an 2000"de Narciso Ibanez Serrador
Un petit couple d'anglais biens sous tous rapports passent des vacances ensoleillées en Espagne, loin de leur progéniture. Ils ont décidé de se rendre sur une petite île typique loin de la côte, et sont acceuillis par des gamins insouciants. Le village est magnifique, mais un détail cloche.... si les mouflets sont bien présents et semblent un brin étranges, le reste des habitants est introuvable. Bientôt, le couple de vacanciers va se rendre à l'effroyable vérité: les adultes sont traqués et éradiqués sans pitié!!!
Vrai bon film des années 70's, le film a évidemment bien vieilli par rapport à nos "exigences" d'aujourd'hui. Aucun acteur connu (ce qui est plutôt bien...), et une mise en scène lente et maitrisée.
L'idée forte du film est que de tous temps et de tous les conflits, ce sont les enfants qui souffrent le plus de la connerie des adultes. Le générique est à ce sens explicite: on y aperçoit des archives des actualités d'époques (des guerres; des massacres; des génocides...) avec moults gamins estropiés, massacrés, à l'agonie, et à chaque fois conclues par une comptine glaciale, qui annonce le carnage qui s'ensuira...
intéressant!
note: 4/6(parce que ça a un peu trop vieilli......)
Salode Pasolini
Une bétonnière dans ta face! Que celles et ceux qui ne connaissent pas se renseignent, et que les plus courageux regardent....
Il est indéniable qu'il y a un avant et un après ce film, et on reste marqué à jamais!
note: 5/6
30 jours de nuit de David Slade
Le petit village de Barrow, nord de l'Alaska, s'apprête à passer un mois d'absence totale du soleil. Alors que les villageois se calfeutrent, un étranger venu de nulle part leur annonce leur fin prochaine, et qu'ils périront jusqu'au dernier. Rapidement, toutes les communications avec l'extérieur sont rompues, et l'électricité est coupé. La panique commence à se déclarer avec les premiers meurtres, perpetrés par des êtres invincibles et assoiffées de sang.
Adaptation réussie de l'oeuvre graphique (le terme n'est pas galvaudé!) de Ben Templesmith et Steve Niles, qui choisit de resserer l'action dans Barrow: exit les plans à l'extérieur, la venue des vampires... ici, le réalisateur de "Hard candy" préfère le siège étouffant et des scènes d'une violence stupéfiante! le rythme est maintenu du début à la fin, et les acteurs jouent tous très bien!!! Les décors sont également très réussis, et certains paysages mériteraient d'être encadrés et exposés dans un musée!
Vraiment excellent!
note: 5/6
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- WILFUCK
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Irlande, 1920. Alors qu’il est sur le point de partir à Londres pour y exercer la médecine, Damien O'Donovan est témoin des exactions des Black and Tans, des brigadiers anglais venus mater les indépendantistes. Outré par tant de brutalité et de mépris, le jeune homme abandonne son projet et s'engage dans la lutte armée contre l'oppresseur britannique, aux côtés de son frère Teddy. Les diverses opérations de guerilla auxquelles ils sont mêlés font peu à peu reculer le gouvernement anglais. Au point où celui-ci accorde l'indépendance à l'Irlande du Sud, à la condition que ses habitants, à majorité catholique, prêtent serment au roi d'Angleterre. Partisan du compromis, Teddy joint les rangs de la nouvelle police irlandaise, tandis que son frère poursuit son combat pour l'indépendance absolue de son pays.
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The Wind That Shakes The Barley. (Le vent se léve)
Irlande, 1920. Alors qu’il est sur le point de partir à Londres pour y exercer la médecine, Damien O'Donovan est témoin des exactions des Black and Tans, des brigadiers anglais venus mater les indépendantistes. Outré par tant de brutalité et de mépris, le jeune homme abandonne son projet et s'engage dans la lutte armée contre l'oppresseur britannique, aux côtés de son frère Teddy. Les diverses opérations de guerilla auxquelles ils sont mêlés font peu à peu reculer le gouvernement anglais. Au point où celui-ci accorde l'indépendance à l'Irlande du Sud, à la condition que ses habitants, à majorité catholique, prêtent serment au roi d'Angleterre. Partisan du compromis, Teddy joint les rangs de la nouvelle police irlandaise, tandis que son frère poursuit son combat pour l'indépendance absolue de son pays.
J'ai adoré
18/20 si je me souviens bien je lui avais mis
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- neub
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Mutant Chronicles.
alors oula jvous arrete de suite, c'est pas du cinoche d'art et d'éssai! mais tention, c'est pas du carpenter non plus, et c'est la que j'ai été surpris. à la base je le matais avec papier crayon, pour prévoir une séance de sampling.
je me retrouve sur terre en 2707, et depuis 2008, il s'est passé plein de trucs. une aire glaciaire, un truc qui tombe du ciel, des mutants, un ordre monastique guerrier, un age obscure, une re-révolution industrielle...et on arrive en 2707, et c'est verdun, une pire guerre de tranchée en europe centrale, à coup de grosse (très grosse) berta et de sarin.
visuellement, mon sentiment c'est que la réa n'a pas eu le budget qu'elle aurait souhaité. mais au final, on a vraiment le sentiment de se trouver face au travail de vrais artistes qui n'ont eu que de faibles moyens techniques. le résultat est carrément étonnant, j'ai adoré.
coté acteur, le seul que j'ai reconnu (et il a bien vieilli!) c'est le troll qui disait "miette!" dans la cité des enfants perdus.
bref au final, je n'ai pas utilisé mon papier ni mon crayon, je me suis laissé porter du début à la fin, c'est bien ficelé, ça ramone sévère, et l'univers (qu'on pourrait situer entre final fantasy et brasil) est vraiment inédit au cinéma.
Mutant Chronicles.
edit: trouvé que ça, pas sorti? film uniquement DVD? nanar caché?
La réalité est une hallucination merdique induite par un manque d'alcool prolongé.
Pièces jointes :
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- dajhne
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hier, j'ai regardé un film dont j'avais jamais entendu parlé:
Mutant Chronicles.
fais péter un lien ou une affiche, histoire qu'on puisse avoir un visuel....
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